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Veuillez trouver ci-dessous, ma réaction au lendemain du discours de François Hollande (d'augmenter le montant des amendes pour financer le grand Paris), et que j'avais publié sur Facebook le 01/04/2013, soit une année avant le séisme électoral de 2014 (lors des municipales).

    LE RETOUR DE SARKO & LA FORTE POUSSÉE DES PARTIS DE L'LEXTREME DROITE

    LES AMENDES : UNE INDUSTRIE COMME LES AUTRES

    Augmenter le montant des amendes pour financer le grand Paris, mais quelle idée ? Que d’y penser c’est déjà un délire ; mais aller jusqu’à le dire sans honte, sans aucune gêne, j’hallucine. Mais c’est pareil que de dire que je vais voler le public pour combler le déficit financier. Ils ne se rendent même plus compte que c’est quelque chose de très grave !

    En principe les amendes c’est pour sanctionner les gens qui sont en infraction, et donc les dissuader d’en commettre davantage, mais apparemment maintenant commettre une infraction va devenir un ACTE CITOYEN. Mais maintenant que les amendes vont devenir une industrie, ce qui va arriver, c’est de faire en sorte que les gens soient les plus souvent en infraction, comme par exemple, restreindre au maximum le parc prévu pour le stationnement. Comme ça les gens auront du mal à trouver des places pour stationner.

    En fait, ce ne sont pas des choses qui risquent d’arriver, mais c’est des choses qui existent déjà, parce que les places sont déjà rares (ça va se raréfier davantage), et que l’industrie des amendes à commencé sous Sarko sous l’appellation d’origine contrôlée « LES QUOTAS ». La gauche ne fait que officialiser les choses. Sous la gauche ça consistera à pousser les gens à commettre des infractions volontairement (se garer n’importe où faute de places) alors que sous la droite cela consistait (ou ça consiste, puisque cela n‘a pas changé, SARKO est parti mais sont odeur reste) à piéger les gens, faire en sorte que les gens se trouvent en infraction sans le vouloir ou sans le savoir et verbaliser tout et n’importe quoi, c’est-à-dire même des infractions qui n‘existent pas. (Le code de la route impossible à respecter, les amendes impossibles à contester, etc, ce n’est pas innocent).

    Ces actes-là c’est de l’escroquerie. Et dire publiquement que ça fait partie d’un projet, ça montre que les hommes politiques ont touché le fond, et que l’ENA a ses limites. On n’a donc plus rien à attendre de leur part.

    Franchement, quand on voit le premier ministre reprocher aux patrons de ne pas faire assez d’efforts pour embaucher, (comme si c’était de leur faute) est-ce que cela a un sens ? Si c’est le cas en France, est-ce que c’est les patrons français aussi qui se trouvent en Grèce, en Espagne, au Portugal, etc.? Et quand on voit le président de la république dire « qu’il ne savait pas que la crise serait aussi grave et aussi durable », est-ce qu’il y a encore un pilote dans l’avion ? Est-ce qu’il ne serait pas temps de regarder ailleurs ?

    En tout cas moi, dans les nombreuses lettres que j’ai adressées au parti socialiste (de 1993 à 2006), je n’ai pas cessé de dire que la crise était plus grave qu’on ne croyait, qu’elle est le fruit des erreurs commises dans le passé et qu’il fallait s’attendre au pire puisque les erreurs en question sont toujours en cours puisqu’on les prend pour acte de vertu; et que les erreurs de la majorité (dont la gauche se réjouissait) pourraient leur servir pour accéder au pouvoir, mais jamais cela n’allait aider la gauche à redresser la situation du pays.

    Il va falloir donc qu’on fasse quelque chose, parce qu’on va vers le K.O, et comme bonus, on risque le retour de SARKO et de la Droite, et/ou encore pire, une forte poussée des partis de l’extrême Droite.

    SIMSON

       

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